mercredi 12 janvier 2011

Quitte à ne rien faire

Journée sans la moindre productivité.

Je doute que qui que ce soit ait besoin d'un mode d'emploi pour arriver à un tel résultat, mais tant pis, voilà comment j'en suis arrivée là.

Ce matin, après ouverture de mes courriels, j'ai fait le tour de mes blogs habituels, et suis donc allée voir chez CSP. Pour des raisons obscures, j'ai cliqué sur le lien sous cette image de si bon goût. 
J'ai donc atterri chez embruns. Là, toute heureuse de voir un blog qui parle de Montréal, j'ai regardé rapidement les derniers billets publiés (moui, j'étais vraiment disposée à ne rien foutre) et je me suis donc retrouvée loin.

J'y suis depuis ce matin. Oh j'ai bougé de chez moi, je me suis rendu jusqu'à mon adorable bibliothèque. Et depuis 11 h 45 (j'étais pas particulièrement en avance), je suis assise à une des tables de la Collection Nationale de la Bibliothèque Nationale du Québec, à lire un blog (il est 20 h 04. Oui j,ai fais une pause pour manger). Et je l'ai pas encore fini (ce qui signifie que je suis pas prête de me remettre à bosser.)

Deux conclusions :

1 — Je n’ai absolument aucun contrôle sur mes pulsions procrastinatoires. C'est moche. Ça fait une semaine que j'ai découvert la série Torchwood. J'en suis à la saison 3, épisode 2. C'est drôlement bien. Ça fait 3 jours que je me couche passé 01h pour voir la suite...
 Ça me fait le coup à chaque fois que je découvre un truc à lire ou à voir. C'est particulièrement pénible avec les séries, ou les blogs, parce que ce sont des heures qui s'envolent d'un coup.

2 — Depuis que je suis au Québec, il y a un sujet de conversation qui revient très régulièrement : les différences culturelles France/Québec. J'ai vaguement prévu de faire un billet là dessus un jour d'ailleurs, pour dire à quel point c'est un sujet de conversation bateau, qui me sort par les yeux. Mais là, non seulement l'auteur du blog écrit drôlement bien, mais en plus c'est un québécois à Paris. Avec une perspective inversée, ça devient tout de suite plus intéressant. Je vais même finir par comprendre pourquoi je suis obligée d'avoir encore et encore cette conversation sur pourquoi la France et le Québec, c'est-pas-pareil-mais-pas-trop-différent-non-plus.

Donc voilà, pour les 2 lecteurs éventuellement perdus par ici, c'est  que ça se passe.

Bon, ben à défaut de travail efficace, j'aurais au moins écrit un billet ici.

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